Confessions d'un parent esseulé-

La Maison (Photo: gracieuseté Maisons Plantation)

Il était une fois nous avons vécu dans les bois - et dans les banlieues anonymes. Nous avons vécu dans des climats froids et chauds, dans les grandes métropoles, et les lieux de minuscules pas ceux jamais entendu parler. La seule constante était la maison. Partout où nous nous trouvions, nous avons toujours commencé avec la recherche de la maison. Il fallait toujours avoir beaucoup de chambres et salles de bains, une grande cuisine et une cour à l'avenant. La Chambre a demandé beaucoup d'entre nous par le biais de nettoyage, d'entretien, et la dépendance sur les voitures, mais nous avons toujours pensé que notre famille en avait besoin.

Maintenant, notre famille est cultivé, et mon mari et moi avons décidé le prochain chapitre dans nos vies serait plus passionnante et stimulante si nous l'avons dit au revoir à La Maison. Et alors nous avons fait.

Nous vivons maintenant dans le milieu du centre-ville de Seattle dans un condo (photo ci-dessous) thats moins de la moitié de la taille de notre dernière législature. Nos 3200 pieds carrés de l'étalement du Texas a été abaissé à un 1200 cosmopolite. Weve débarrassé de la plupart de nos meubles, des vêtements, et des illustrations excédent, et toutes nos affaires de sens. Weve jeté les outils de tondeuses à gazon et le jardin, et comparé nos plats jusqu'à suffisant pour seulement quatre. Et le meilleur de tous - les plus glorieusement de tous - weve vendu nos trois voitures!

Nos vies ont changé la vie quotidienne dans tous les sens imaginables. Nous n'avons pas pour posséder une voiture, si nous marchons partout, y compris de et vers le travail. Nous utilisons le bus ou le ferry si nous voulons aller plus loin. Cela a eu un effet profond sur la façon dont nous interagissons avec les gens. Nous nous rendons compte maintenant que les cocons de nos voitures nous a bien à l'abri des gens autour de nous. Nos interactions authentiques étaient avec leur famille et collègues de travail, les seules personnes qui nous voyaient dépouillés du métal qui vêtu et protégé nous. Nos voisins, nous avons découvert, étaient pratiquement inconnus.

Maintenant, nous sommes en face-à-face avec les gens dans nos ascenseurs des bâtiments, à nos lieux de rencontre de coin, et sur les trottoirs. Nous bavardages et les animaux de nos chiens des voisins. Nous échangeons des bonjours avec les gens que nous adoptons tous les jours sur notre façon de travailler. Weve développé des amitiés avec plusieurs propriétaires et les serveurs de nos restaurants préférés.

Un restaurateur a récemment appelé pour nous dire, Weve vous avez manqué. Notre épicier du quartier aime à parler de nous, parce qu'il trouve notre changement de mode de vie tout à fait intrigant. Que pensez-vous? Etes-vous toujours satisfait de votre décision? Notre propriétaire locale magasin vidéo a très décidé idées sur ce que nous devrions et ne doit pas louer - l'enfer réellement tirer des DVD à partir sous le comptoir et de dire, ici - Je gardais ces pour vous. Au lieu de se sentir anonyme dans la grande ville, weve cultivé de se sentir accueillis et je voulais, et weve deviennent plus conviviale, aussi. Weve a découvert que la plupart des gens, quelle que soit leur marche de la vie, sont sacrément belle.

Nous mangeons à environ 85% du temps et de garder essentiellement des collations seulement à la maison. Nous n'avons pas manqué le train-train quotidien de la cuisine et le nettoyage en place du tout. Les gens nous demandent souvent comment nous pouvons nous permettre de manger dehors tellement, mais après changement de notre épicerie et les budgets d'automobiles sur le budget à manger, nous sommes toujours de l'avant financièrement. Et quel plaisir il a été de prendre dans un match de football et un hamburger grande à cet endroit, et profiter d'un trio de jazz et un bon vin à cet endroit.

La spontanéité est devenue une grande partie de nos vies aujourd'hui. Nous voyons des films, des jeux de baseball, et aller au théâtre, concerts et musées, sans planifier à l'avance car ils sont tous facilement accessibles. Nous avons souvent se promener à notre parc local, où theres presque toujours une sorte d'événement ou d'un concert en cours. Un bonus supplémentaire à l'ensemble de cette activité est que nous sommes en meilleure santé et plus fort que nous ayons visitée depuis des années.

Weve certainement fait des ajustements. Je porte un sac à main avec moi que j'appelle mon Mary Poppins sac, car, comme celle de ressources nounou, je peux tirer à peu près tout hors de lui: un parapluie, des gants, une paire de chaussures habillées, des lunettes de soleil, les timbres, et d'autres éléments inattendus.

Je n'ai jamais prêter attention aux rapports de trafic, mais je suis très intéressé par les rapports météorologiques, puisque Im dans toutes sortes de maintenant. Ive a marché en tout, de neige, la pluie battante, et mon favori personnel du vent. Malgré le fait que mon sac de Mary Poppins contient une brosse et la laque, j'ai démissionné me perpétuellement à la recherche comme un lit défait.

Qu'est-ce épicerie peu que nous faisons est juste que le petit. Nous ne pouvons acheter ce que nous pouvons mener, afin que nos sorties sont courtes et fréquentes.

L'absence d'une voiture n'a pas été un problème, et nous espérons sincèrement bien ne jamais avoir à acheter un autre. Weve seulement besoin d'une voiture à deux reprises, et nous avons simplement loué un. Et les voyages à l'aéroport sont beaucoup moins stressant quand tout ce que vous avez à faire est héler un taxi.

Une journée chaude et ensoleillée à l'automne dernier, nous nous sommes promenés sur le parc où un big band jouait la grande musique 40s. Plusieurs couples plus âgés ont été jitterbug et valser, avoir le temps de leur vie. Nous avons pris de la limonade, assis à l'ombre, et regardé et écouté. Comme les lignes de temps sur les visages des danseurs disparus et leurs épines se redressa un peu, comme leurs yeux brillaient et leurs rires se mêlaient avec le chant des oiseaux au-dessus de nous, nous nous sommes regardés et ont souri. Nous savions que nous étions à penser la même chose. Nous ne pourrions pas avoir la maison plus, mais nous étions assurément la maison.